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Pendentif Orchidée Cypripédium Acaule
Code de produit : BES-OPV-01
- Disponibilité : Cette œuvre vous attend!
Description
Pendentif en argent .925 représentant la fleur emblématique de l’orchidée Cypripedium Acaule, aussi appelée « sabot de la vierge ».
- Argent sterling .925
- Inspiré de l’orchidée sauvage Cypripedium Acaule
- Fait main au Québec
- Chaîne en argent incluse
- Choix de longueurs : 16, 18 ou 20 pouces
Collection
Sur le territoire québécois, Bénédicte prend la route, données GPS et fioles en mains, à la recherche de spécimens locaux d’orchidées rares et boréales. Grâce à sa collaboration avec les départements de botanique de nos universités, elle consulte les ouvrages de référence que sont les herbiers Louis-Marie et Marie-Victorin pour guider ses expéditions à travers forêts et tourbières, espérant y trouver une fleur en floraison. Ce n’est que lorsque la fleur est pleinement épanouie, et uniquement avec autorisation, qu’une cueillette respectueuse peut avoir lieu. Par cette démarche rigoureuse et sensible, cette collection rend hommage à la biodiversité nordique, à sa beauté racée, sa précieuse fragilité, et à l’urgence de sa protection.
Entretien
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Processus de création
Le processus de création de Bénédicte Séguin relève d’un rare enchantement : elle façonne des bijoux à partir de véritables fleurs qu’elle cueille elle-même, au fil de ses errances silencieuses dans la nature.
Chaque plante est patiemment enduite d’une fine couche de cire, comme une caresse qui en saisit les moindres nervures. Cette empreinte est ensuite enveloppée de plâtre, puis consumée dans le feu du moulage à la cire perdue, laissant place à une réplique d’une fidélité saisissante, coulée en métaux précieux. Vient ensuite le façonnage du bijou, auquel elle ajoute parfois une pierre précieuse ou une perle d’eau douce, telles des offrandes aux dieux végétaux.
Ce savoir-faire, Bénédicte l’a bâti au fil de milliers d’heures de recherche, d’essais et d’échecs. Chaque bijou est précédé de longues quêtes botaniques, souvent infructueuses, où elle revient les mains vides mais le regard encore plus affûté. Ainsi, chaque création naît d’un temps invisible, d’un amour profond pour la flore sauvage et d’une rigueur d’orfèvre.